mercredi 7 décembre 2011

Slachlick.

/hi
Chaë vous salue chaleureusement.

Comme tu le sais cher lecteur, si tu as déjà parcouru quelques uns des délires précédents et/ou si tu les as vécus avec moi, j’ai déjà beaucoup insisté sur l’importance capitale des macros inutiles. D’ailleurs le fait qu’elles soient inutiles les rends parfaitement indispensables cela va de sois.

Nous en avons rencontrés de tout type, depuis la macro strat de foot américain(1) à celle qui annonce fièrement qu’on invoque un truc(2), en passant par l’indignation façon elfe de sang(3) ou même les slogans publicitaire parfois(4).

(1)  Macro de groupe.
/s 28 12 42
/cri HUT HUT HUT
(2) Macro de Seïkjin.
/me frime à mort sur son gangrecanasson. 
(3) Macro de Chaë.
/me balance sa lime à ongle sur %t. Aïe !
/s Ca t’apprendra à dire des conneries.
(4) Macro de Bormona.
/s Avec une patrole l’instance est plus folle.

C’est un peu dans cette optique qu’est né le délire du Slachlick.





Slachlick, n’est pas une onomatopée hasardeuse pour signifier que l’on veut manger quelque chose, non, non, il ne faut pas confondre avec le Shlaguevuk de l’ogre de Naheulbeuk.
Ce n’est pas non plus un cri de guerre tel que KATUNGAAAAAAAAAAA !!
Ni une salutation troll venue des lointaines îles écho.
D’ailleurs sa véritable orthographe est la suivante : /lick. Vous avez bien reconnu l’émote en question.
Dans certaines contrées ou chez certaines personnes dont la prononciation maladroite fait fourcher la langue, cela se dit aussi Chlachlick ou Shlashlick, enfin les déclinaisons sont variées.

Cette émote est souvent utilisée pour signifier :
- Soit l’affection : aimer c’est aussi se lécher.
- Soit l’envie de manger : il faut gouter pour savoir si ça se mange, non ?
- Soit une manière familière de dire au revoir : ++, bisouilles, lèchouilles, Slachlick…

Bref, une utilisation des plus banales, n’est-il pas ?
Jusqu’au jour fatidique où je m’en suis servie sur le mini K.T. d’Ankhti (la prêtresse réprouvée de Fraya).


Ce qui, je ne vous le cache pas, a provoqué l’hilarité de cette dernière.

Là, c’était trop tard, le délire était lancé, plus moyen de le rattraper, même avec une compétence de monte au maximum et l’aura du croisé par-dessus. Le Shlachlick s’était répandu parmi nous.
Comment me direz-vous ?
C’est simple, suite à ce délire, nous nous sommes posées (Fraya et moi) une question existentielle : Si le Mini K.T. a un gout de fraise, quel gout peut bien avoir Ankhti ? Et Kartann ? Et Darkichou ?! Il nous fallait le savoir, ceci était de la plus haute importance.

Discrètement, ça et là, nous avons commencé à lécher nos compagnons de guilde, les uns après les autres, histoire d’avoir des réponses. Puis, forcément, vu notre discrétion légendaire, on a aggro les autres dans le délire, bien que je ne sois pas certaine qu’ils aient tous été embarqué là dedans de leur plein gré.


Ainsi nous avons pu déterminer les gouts de certaines personnes.

Ankhti a un gout de réglisse et son Mini K.T. a un gout de fraise.
Kartann a un gout de purée de brocoli (et il n’a pas l’air d’en être heureux).
Kirine a un gout de pomme de terre.
Darkitor a un gout de pêche écrasée.
Isi a un gout de fromage blanc à la crevette.
Seïkjin (en forme de loup) a un gout de croquette à la carotte et son petit fétiche de Sen’jin a un gout de miel d’accacia.
Quant à Chaë, elle a un gout de citron.

Donc voilà, le jeu est lancé, je vous invite à lécher vos copains et à trouver quel gout ils ont. N’hésitez pas à me les communiquer afin que je les ajoute dans la liste.

A bientôt, slachlick à tous !


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